[Page 1]
Elden Ring: LGBT
Oui oui, vous avez bien lu, mais rassurez-vous: LGBT veut tout simplement dire ici “Le Grand Beta Test”. Disons que c’était pour passer outre les algorithmes et attirer la foule !
Un test hors-série pour le site qui en lancera peut-être d’autres, en tout cas pour aujourd’hui, attendez-vous à un papier avec juste quelques très légers spoilers.
Un test à la sauce ledgerlines évidemment, sinon ce serait faire comme d’innombrables autres revues ou chaînes plus ou moins vendues...
Commençons en replaçant un peu du contexte de ce Elden Ring, le dernier-né du studio japonais FromSoftware, avec une pincée de commentaires personnels.
Pour ce jeu est intervenu le désormais célèbre Georges R.R. Martin, auteur des bouquins A Song of Ice and Fire et dont la série Games of Thrones s’était inspirée.
Petite anecdote personnelle quant à cette série... je n’ai vu que le tout premier épisode de cette saga et ça m’avait plus-que-suffit.
Le sentiment qui s’était dégagé était le suivant: “On se croirait revenu à l’ère reptilienne avec des coups de pute à chaque coin de rue.
Les gens aiment vraiment ça..? Il faut croire que oui...”
Et par “ère reptilienne” (et c’est encore le cas de nos jours) je fais bien entendu référence aux Chroniques du Girku, mais entre les deux noms cités, l’un porte la mémoire du monde, l’autre tend à exciter les pulsions les plus primitives liées justement au cerveau reptilien...
Mais je m’égare. Quel est le lien avec Elden Ring me direz-vous ?
Eh bien, je suspecte depuis belle lurette que comme pour tout (mass) media, le jeu vidéo a été plus ou moins infiltré par la “Cabale” depuis un certain temps, si ce n’est depuis ses débuts.
Alors évidemment, il ne faudrait pas tout mettre dans le même panier, il faudrait faire du cas par cas idéalement.
Faute de mieux, on va se contenter d’appliquer le bénéfice du doute, d’autant plus qu’il pourrait bien y avoir eu quelques autres influences possible, on en reparlera peut être…
En tout cas, concernant le jeu mis en avant ici, voyez donc ces quelques images.
Un des personnages que l’on rencontre au début de l’aventure.
Il n’y a que moi que ça dérange ?
Les jeux Dark Souls de From Software ont toujours été très sombres - voire avec quelques signes d’occultisme - même s’il est difficile de dire s’il s’agit de simple inspiration / liberté créative.
Bloodborne avait monté d’un cran mais il y avait encore une certaine “retenue” dans ce jeu malgré l’ambiance très dark fantasy.
Fermons cette parenthèse en renvoyant le lectorat vers le site Vigilant Citizen qui s’occupe bien des “clins d’œil” dans l’entertainment, et avec un dernier aparté qui sera en fin d’article.
Passons donc à la suite, et au test / avis à proprement parler.